The War Chief
   
PARUTION ORIGINALE
In  : Argosy All-Story Weekly, 16, 23 et 30 avril, 7 et 14 mai 1927. En volume  : Chicago, A.C. McClurg & Co., septembre 1927.
 
Bibliographie française
Couvertures françaises
 

 


RESUME

L’enfant d’un couple de Blancs tué par les Apaches est adopté par le chef Go-yat-thlay – plus tard connu sous le nom de Geronimo. Le garçon grandit parmi les Apaches, ignorant son origine, et à dix ans prend le nom d’Ours Noir, Shoz-Dijiji.

Le temps s’écoule. Shoz-Dijiji et son ami Gian-nah-tah participent aux raids des Apaches. Shoz-Dijiji s’éprend de la jeune Ish-kay-nay, même si le père de celle-ci préférerait la voir devenir la femme d’un chef comme Juh, lequel regarde Shoz-Dijiji avec hostilité.

Quand Geronimo et ses proches sont incarcérés pour avoir quitté Apache Pass sans autorisation, Shoz-Dijiji décide d’apprendre la langue des Visages-Pâles et fréquente pendant trois mois une école au poste frontière de San Carlos. Geronimo est finalement libéré.

Un jour, Shoz-Dijiji empêche trois Blancs de s’en prendre à une jeune femme appelé Wichita Billings qui vit dans un ranch avec son père.

Shoz-Dijiji demande la main d’Ish-kay-nay. Son père exige en échange cinquante poneys. Shoz-Dijiji réussit à en voler mais ils lui sont repris ensuite. Il cherche à retrouver son clan et bénéficie de l’aide de Wichita Billings qui lui fournit un cheval. Pendant son absence, Juh a affirmé à Ish-kay-nay que Shoz-Dijiji était mort, provoquant le désespoir de la jeune fille.

Shoz-Dijiji découvre Ish-kay-nay mourante et jure de tuer Juh qui en est responsable. Il le retrouve et les deux hommes s’affrontent. Juh est tué.

Les Apaches prennent le sentier de la guerre. Quand un groupe attaque le ranch où se trouve Wichita Billings, Shoz-Dijiji s’interpose. Il l’amène dans sa tribu où elle reste quelque temps, puis il la ramène chez elle.
 



BIBLIOGRAPHIE FRANCAISE

«  Le chef de guerre  » (trad. de Gilbert Viala). In  : La Tribune des amis d’Edgar Rice Burroughs, n° 67 (décembre 2007) à 80 (mars 2012).

 


COUVERTURES FRANCAISES

 



© Michel Vannereux